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Série 1 : La vie

Les lignes et contours des personnages sont précis et dessinant avec rigueur les formes. Les couleurs chaudes et froides parviennent à donner la teneur de la luminosité. L’arrière-plan revient avec une exubérance colorée et dynamique de la fraîcheur de la nature.

Ah le petit vin blanc que l'on boit sous les tonnelles... Tout un symbole. Vous souvenez-vous de l'époque des guinguettes ? Un temps où le déjeuner guinguette était le passe-temps favori de la classe bourgeoise de la fin du XIXe siècle. Chaque personnage est très individualisé. Au premier plan, Aline dont le visage est lumineux, semble épanouie. Derrière Aline, le patron du restaurant, le père fournaise, observe cette scène joyeuse. Sa fille Alphonsine, rêveuse et souriante est appuyée sur la rambarde juste derrière. Elle est en pleine discussion avec un grand ami. Les autres personnages sont également des amis ou clients.
Dans ce tableau, l’eau et la lumière sont dominantes. En arrière-plan, la Seine est éclairée par le soleil de l’été. Les couleurs vives et les costumes chatoyant des personnages rendent la scène très vivante. Enfin, avec ce tableau, le spectateur observe les plaisirs de la vie et laisse les problèmes du quotidien derrière lui.
Dans ce tableau, l’eau et la lumière sont dominantes. En arrière-plan, la Seine est éclairée par le soleil de l’été. Les couleurs vives et les costumes chatoyant des personnages rendent la scène très vivante. Enfin, avec ce tableau, le spectateur observe les plaisirs de la vie et laisse les problèmes du quotidien derrière lui.

Pluie, lumière, parapluies.
D'une part, c'est la vanité, l'écrasement, l'accumulation de parapluies, et d'autre part, le charme et le charme de l'intrigue.
La toile se regarde d'un seul coup, il n'y a pas d'intrigue compliquée et complexe qui vous ferait réfléchir et penser dans l'esprit de la fin du 19ème siècle.
Tout est simple et facile.
D'une part, c'est la vanité, l'écrasement, l'accumulation de parapluies, et d'autre part, le charme et le charme de l'intrigue.
La toile se regarde d'un seul coup, il n'y a pas d'intrigue compliquée et complexe qui vous ferait réfléchir et penser dans l'esprit de la fin du 19ème siècle.
Tout est simple et facile.

La scène se déroule dans un café de plein air, où les clients viennent respirer l’air frais à l’ombre des arbres tout en se désaltérant tous les dimanche soirs.
Au premier plan, dominant la composition, un couple danse une valse. La jeune femme porte une longue robe chamarrée aux bordures rouges et un bonnet rouge orné de fruits. Les couleurs de sa robe et son visage clair sont pleinement mis en évidence.
L’homme au costume sombre, arbore un chapeau de paille qui cache son regard, mais laisse cependant apparaitre une barbe et une moustache rousses. La belle danseuse n’est pas insensible à son charme ce que semble suggérer sa main posée sur son cou.
Au fond, les clients du café où émergent d’une façon étonnante des hauts-de-forme, ce qui nous paraît actuellement bien incongru, nous qui sommes habitués à un laisser-aller assez général.
Au premier plan, dominant la composition, un couple danse une valse. La jeune femme porte une longue robe chamarrée aux bordures rouges et un bonnet rouge orné de fruits. Les couleurs de sa robe et son visage clair sont pleinement mis en évidence.
L’homme au costume sombre, arbore un chapeau de paille qui cache son regard, mais laisse cependant apparaitre une barbe et une moustache rousses. La belle danseuse n’est pas insensible à son charme ce que semble suggérer sa main posée sur son cou.
Au fond, les clients du café où émergent d’une façon étonnante des hauts-de-forme, ce qui nous paraît actuellement bien incongru, nous qui sommes habitués à un laisser-aller assez général.

Cette danse se passe dans un riche intérieur, une salle de bal, décorée de rideaux lumineux et d’une composition de plantes vertes.
Le couple danse enlacé.
Les jeunes gens dansent avec une grande ferveur amoureuse, pleine de retenue.
Le visage de la jeune-femme nous montre son émotion, son regard est « intérieur » son bras et sa main gauche délicatement mais fermement posés contre le bras et sur l’épaule de l’homme la font légèrement « dévisser » vers son partenaire pour être au plus près de son corps.
C’est un tableau de verticales, elles sont le ressort de la composition. Au second plan : les rideaux à droite, la superposition des plantes vertes à gauche, du tableau.
Au premier plan, la jeune femme attire l’attention du spectateur.
Soyons voyeur ! sentez l’énergie qui émane de ces corps étreints, l’un vers l’autre aspirés.
Les reflets bleutés, nacres et métalliques des volants de la robe nous renseignent sur la source de lumière : une lumière artificielle. Il n’y a pas d’ombre au sol. Elle se diffuse sur les danseurs et fait briller les atours.
Le couple danse enlacé.
Les jeunes gens dansent avec une grande ferveur amoureuse, pleine de retenue.
Le visage de la jeune-femme nous montre son émotion, son regard est « intérieur » son bras et sa main gauche délicatement mais fermement posés contre le bras et sur l’épaule de l’homme la font légèrement « dévisser » vers son partenaire pour être au plus près de son corps.
C’est un tableau de verticales, elles sont le ressort de la composition. Au second plan : les rideaux à droite, la superposition des plantes vertes à gauche, du tableau.
Au premier plan, la jeune femme attire l’attention du spectateur.
Soyons voyeur ! sentez l’énergie qui émane de ces corps étreints, l’un vers l’autre aspirés.
Les reflets bleutés, nacres et métalliques des volants de la robe nous renseignent sur la source de lumière : une lumière artificielle. Il n’y a pas d’ombre au sol. Elle se diffuse sur les danseurs et fait briller les atours.

Le couple entraîné par la musique n'a-t-il pas abandonné une table en désordre, désordre accentué par le chapeau tombé par terre au premier plan ?
Une passion impulsive et improvisée semble avoir poussé le couple à danser, sans attendre que déjeuner soit fini !
Une passion impulsive et improvisée semble avoir poussé le couple à danser, sans attendre que déjeuner soit fini !

Composition audacieuse pour aborder le cycle de la vie humaine.
Cette vie se compose de personnes de toutes les générations: du tout-petit à la femme vieillissante, tous les âges sont représentés. Les yeux des personnages montrant la vie sont fermés, leurs postures trahissent la paix et la détente.
Ceux-ci, enlacés et nus, semblent se mélanger et leurs visages semblent heureux, voire extatiques. Les peaux des femmes sont pâles, contrairement à la peau de l'homme, plus foncée. À certains endroits les corps semblent distordus ou incomplets. Le fond du tableau est dans les tons bleu foncé fait ressortir le contraste entre les couleurs froides de la mort et les couleurs chaudes de la vie. La lumière semble provenir du haut droit du tableau, éclairant la vie, à l’instar de la mort situé en bas de la toile.
Cette vie se compose de personnes de toutes les générations: du tout-petit à la femme vieillissante, tous les âges sont représentés. Les yeux des personnages montrant la vie sont fermés, leurs postures trahissent la paix et la détente.
Ceux-ci, enlacés et nus, semblent se mélanger et leurs visages semblent heureux, voire extatiques. Les peaux des femmes sont pâles, contrairement à la peau de l'homme, plus foncée. À certains endroits les corps semblent distordus ou incomplets. Le fond du tableau est dans les tons bleu foncé fait ressortir le contraste entre les couleurs froides de la mort et les couleurs chaudes de la vie. La lumière semble provenir du haut droit du tableau, éclairant la vie, à l’instar de la mort situé en bas de la toile.

Dans ce tableau, la masse des corps enchevêtrés devient un monde onirique féminin où les hommes n'ont pas leur place - pour être plus précis, où ils ont un rôle purement passif de voyeurs, le point de vue en surplomb étant celui du spectateur invisible qui contemple la scène de l'extérieur. L'organisation en spirale, inscrit dans une forme d’œuf, évoque irrésistiblement le lent tournoiement.
Dans ce groupe de femmes aux membres et aux robes entremêlés, mais dont chacune est repliée dans son univers intérieur, la figure centrale endormie et entièrement vêtue symbolise la jeune fille tandis que les autres personnages, dont le visage et la pose expriment différents états de plaisir, représentent ses doubles imaginaires ou possibles.
Dans ce groupe de femmes aux membres et aux robes entremêlés, mais dont chacune est repliée dans son univers intérieur, la figure centrale endormie et entièrement vêtue symbolise la jeune fille tandis que les autres personnages, dont le visage et la pose expriment différents états de plaisir, représentent ses doubles imaginaires ou possibles.

Ondines et sirènes dans un décor abyssal floral et aquatique. Cet univers flottant amplifie la sensualité des figures féminines aux chevelures luxuriantes. Métaphore de l'humanité souffrante exprimée par des sujets féminins, la femme devenant un miroir de l'humanité et en même temps un instrument de cruauté. Ces êtres soumis au flux des eaux étendus lascivement ne sont pas sans rappeler de sublimes sirènes, connues pour leur chant qui avait le pouvoir de pousser les marins au suicide en les attirant au fond des mers.

Cette toile nous plonge dans un univers subaquatique peuplé de créatures mythiques et mystérieuses. Au cœur de la composition, plusieurs femmes à la peau diaphane et aux longs cheveux ondulés se dévoilent, évoquant des nymphes ou des sirènes. Leurs courbes gracieuses sont enveloppées de motifs floraux, de poissons qui s'entremêlent, créant un sentiment de mouvement et de fluidité. Les jeux de lumière et les contrastes subtils confèrent à la scène une atmosphère à la fois douce et mystérieuse.
Représentation de la fusion entre la femme et la nature. Les corps des ondines sont entrelacés avec les plantes aquatiques, ce qui crée une impression de symbiose entre les créatures et leur environnement.
Représentation de la fusion entre la femme et la nature. Les corps des ondines sont entrelacés avec les plantes aquatiques, ce qui crée une impression de symbiose entre les créatures et leur environnement.
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